Toute sa vie, André Calvès aura écrit: notes griffonnées, jetées à la hâte sur un bout de papier, ou dactylographiées avec des machines à écrire parfois antédiluviennes: contes, polémiques, anecdotes ou éclairage singulier d'évènements.
Bien fatigué, trop las, comme il l'avoue lui-même, pour militer, il ne pouvait s'empêcher de réagir à l'actualité. Ce sont ces sortes de chroniques que nous avons rassemblées là.
Allant de 1944 à 1996, beaucoup se sont, hélas, perdues.
L'ordre des documents est un peu aléatoire mais en principe, ils sont datés.